Comme en
Somalie, en Ethiopie,
En Burundi
et même ici en Haïti
Les enfants
meurent de faim,
N’ayant
personne pour leur soutien
Seule, déprimés,
pratiquant la toxicomanie
En cherchant
les vrais couleurs de la vie.
Opprimes humilies,
négligés.
Mais, ou
sont les concernes ?
Déambulés dans
les rues,
Sans amour,
sans crainte, dépourvus.
Oh !
Pauvre enfant, damne d’un sort infini,
Enfant de
mon pays, enfant de ma patrie.
Trébucher sur
un soleil de plomb,
Faire de
leur plus jeune âge, la prison,
Dormir journellement
a ciel ouvert,
L’enfant du Bon Dieu, quelle horreur !
Athanase NAZAIRE,
La face cachée de l’amour
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